mardi, octobre 03, 2006


Après avoir examiné les nombres et les opérations apparaissant dans les textes védiques les plus anciens, le concept du zéro chez le grammairien Panini (environ 500 av. J.-C.), le zéro et son symbole chez Pingala (entre 400 et 200 av. J.-C.), une naissance indienne du zéro et du système décimal de position est la plus probable en terme d'antériorité.


Sciences Religion Philosophie étaient mélées.


les chiffres seraient-ils les structures fondamentales de l'univers ou à tout le moins de l'esprit humain ?


Les mathématiciens arabes ont essayé et réussi le plus souvent à démontrer des propositions d'algèbre tant sur le plan de la théorie des équations que sur celui du calcul algébrique. Ce faisant, ils ont rationalisé un certain nombre de calculs et d'algorithmes hérités très probablement des babyloniens.



L'étude des carrés magiques sont dans la tradition mathématique arabe.


L'histoire des sciences chinoises est, comme il a été souvent démontré, largement liée à celle du taoïsme, et en particulier à la recherche de l'immortalité physique. Tout ceci montre le caractère presque mystique du zéro. Mais de là à associer des zéros multiples, et pour quoi faire ?
Il est dit que l'on ne peut pas diviser par zéro. Quoi ? Ce nombre absorberait tous les autres par multiplication et il ne se passerait rien par division ?